Insomnie...

[Sandrin Grinpton]

Sandrin sourit

''Aimer, tu le sais même si on ne te l'aprend pas''

Il prit Lucifel dans ses mains

''Si je ferais du mal à ton serpent, est ce que tu serais faché après moi?''

[Layelis Lansen]

Layelis ne comprit pas très bien où voulait en venir Sandrin.

"Je crois que oui... Pourquoi ?" demanda-t-elle.

¿ ClicK ?

[Sandrin Grinpton]

Sandrin sourit en voyant que Layelis ne comprennait pas

''Si tu m'en voudrais si je lui ferais du mal, c 'est que tu tiens a lui, et est-ce que quelqu'un ta déja dit ''C'est ton serpent, il faut que tu l'aime'' ?''

[Layelis Lansen]

Layelis sourit.

"Non... Merci, je viens de comprendre. Lucifel est le seul véritable ami que j'ai jamais eut... Il me comprend et ne me juge pas... Ce sont deux qualités essentielles pour un ami."

Elle posa sa tête sur l'épaule de Sandrin, et cligna des paupières, fatiguée.

"Tu as un ami, toi ? Un véritable ami à qui tu peux tout dire ? Je ne parle pas de ta soeur, bien sûr..." demanda-t-elle, les yeux dans le vague.

¿ ClicK ?

[Sandrin Grinpton]

''Non... pas vraiment''répondit Sandrin

[Layelis Lansen]

"J'en étais sûre... C'est dur de se faire des amis quand on a un passé à cacher... Je..."

Elle bailla.

"Enfin, Mal ou Bien, je verais bien... C'est que..."

Ses paupières se fermèrent. Elle marmoma encore quelques mots incompréhensibles, puis s'endormit sur l'épaule de Sandrin.

¿ ClicK ?

[Sandrin Grinpton]

Sandrin prit une couverture et l'étendit sur Layelis, et lui caressant la tête affectueuse, tenta de fermer les yeux quelques temps

[Layelis Lansen]

Le sommeil le prit si bien qu'il s'endormit lui aussi, se promettant vaguement de se lever tôt le lendemain pour ne pas être surpris ainsi par des élèves ou des professeurs...

Il tomba dans les bras de Morphée.

HJ: Désolée, j'me permet

¿ ClicK ?

[Sandrin Grinpton]

HJ: Oui oui permet-toi

Le lendemain matin, Layelis se réveilla, seule, bien étendu sur le sofa, une couverture sur elle

[Layelis Lansen]

Elle ouvrit les yeux doucement, sûre d'avoir rêvé. Quand elle s'apperçut qu'elle était bel et bien allongée sur un sofa du Grand Salon, elle se remémora la dernière nuit.

Elle repoussa la couverture et, dans la lumière matinale, décida d'aller prolonger cette nuit épuisante par une petite sieste... Dans son dortoir.

Elle ne risquait pas de croiser Jonathan si tôt le matin !

¿ ClicK ?

[Jonathan Lewis]

C'était sur ce point qu'elle se tromptait. Jonathan était très matinal et avait surtout attendu tout la nuit dans la Salle Commune des Loups pour avoir des explications avec Layelis.

"Qu'as-tu-fais la dernière nuit ?" demanda-t-il d'un ton agressif.

[Layelis Lansen]

Layelis le regarda, étonnée. Elle était si fatiguée qu'elle n'avait même pas la force de s'ennerver.

"Oh... Lâche-moi..." dit elle en partant.

Elle fit quelques pas, puis se retourna :

"Et puis... Tu serais très gentil de ne plus venir m'adresser la parole... Si tu n'est pas capable de te contenter d'un simple amitié... Merci..."

Elle referma doucement la porte derrière elle, laissant Jonathan seul dans le Grand Salon.

¿ ClicK ?

[Jonathan Lewis]

Jonathan alla s'assoir sur le sofa que venait de quitter Layelis, prit la couverture et commença à somnoler. Il avait veillé toute la nuit... De toute façon, quelqu'un le réveillerait bien.

*N'empêche, cette fille est vraiment bizarre...*

[Manu Kessel]

Manu entra dans le Grand Salon. Il comptait y trouver l'inspiration pour sa petite fête improvisée.
Il tourna la tête et apperçut soudain un élève étendu du le sofa.
Il réfléchit.

*Il a l'air si bien endormi... Il aura besoin d'un réveil efficace s'il veut réussir à se réveiller...*

Manu recula de quelques pas pour atteindre la porte. Là, il sortit de sa poche quelques Pétards Mouillés Du Dr Flibuste qu'il lança dans la salle.
Puis il se mit à courir pour rejoindre le Parc, entendant derrière lui une multitude d'explosions.

Manu, le gaffeur / blagueur / farceur du château, pour vous servir...

[Jonathan Lewis]

Jonathan sursauta. De nombreuses explosions se produsaient autour de lui, colorées et bruyantes. Il mit un moment avant d'arrêter de paniquer, tant il avait été sorti brusquement de son rêve.
Jonathan était du genre calme, et analysait toujours la situation avant de réagir.

*Des pétards... Encore le même coup qu'à ma bibliothèque et que dans les couloirs... Mais qui peut bien faire ça ?*

Il s'étira quelques secondes sous la lumière des explosions et se leva, avant de sortir du Grand Salon.